Économies d’eau et hygiène renforcée : DELABIE mise sur les systèmes de chasse d’eau directe sans réservoir

Savez-vous qu’une fuite non détectée dans le réservoir de chasse peut représenter jusqu’à 600 litres d’eau perdus en une seule journée, d’après l’UFC Que Choisir ? Même en partant d’une estimation basse, « par exemple une fuite de 0,0004 litre par seconde, soit la contenance exacte d’un dé à coudre, on en arrive à 400 litres d’eau potable gaspillés en une seule journée, pour un coût de près de 440 € par an et par WC », indique le leader européen en robinetterie et équipements sanitaires pour lieux publics DELABIE. L’enjeu est donc loin d’être anodin, dans un contexte à la fois marqué par une raréfaction des ressources naturelles et une inflation galopante. « Cette problématique est inexistante avec les solutions de chasses conçues sans réservoir et par conséquent non assujetties aux risques de fuites – et aux surcoûts associés. Leur puissance de chasse permet en outre de limiter les consommations à seulement 36 litres par personne et par jour. Et les résultats sont plus qu’éloquents : par exemple, dans un EHPAD où nous avons remplacé des WC à réservoir par des WC à chasse directe, la consommation d’eau a été divisée par 7 ! ».

C’est d’ailleurs loin d’être le seul argument en faveur de ces systèmes. L’absence de réservoir permet également d’éviter la stagnation d’eau à température ambiante et les dépôts de tartre, particulièrement propices au développement bactérien. « Ces micro-organismes peuvent non seulement coloniser les réseaux par le biofilm, mais aussi contaminer l’environnement direct, avec des conséquences potentiellement délétères pour les personnes fragilisées par l’âge ou la maladie… », indiquent les experts DELABIE. Offrant une disponibilité immédiate pour plusieurs usagers consécutifs, les WC à chasse directe sont aussi plus efficaces et plus silencieux, tout en résistant mieux aux sollicitations fréquentes. Autant d’atouts qui les voient séduire chaque jour plus d’établissements recevant du public, hôpitaux et EHPAD inclus.

« Notre dernier-né, le système de chasse d’eau temporisé sans réservoir TEMPOFLUX 3, multiplie les innovations pour justement mieux accompagner cette transition », souligne-t-on chez DELABIE. Il faut dire que cette solution coche effectivement toutes les cases : en matière d’économies d’eau, elle est dotée d’une fonction double touche 3l/6l, ajustables à 2l/4l pour optimiser le rinçage, et d’un dispositif antiblocage afin d’éviter les abus et gaspillages. Sur le plan du confort, son déclenchement souple lui permet d’être actionné par tout type d’utilisateur, pour un niveau sonore réduit et conforme aux exigences de la norme NF EN 12541 classe II. Son installation est en outre on ne peut plus aisée : s’adaptant à toutes les configurations, le TEMPOFLUX 3 se démarque par un boîtier d’encastrement breveté, compatible avec des cloisons jusqu’à 120 mm d’épaisseur et garantissant une étanchéité parfaite. Outre sa grande robustesse, qui lui permet de mieux résister au vandalisme, tout a été pensé pour simplifier les opérations de maintenance, avec des composants accessibles par l’avant, un robinet démontable par l’intérieur, et la possibilité de réaliser facilement une purge sécurisée. Sans oublier un design résolument intemporel, avec une plaque de commande en verre noir également disponible en finition inox satiné ou métal chromé. Lauréat de plusieurs concours internationaux, le système temporisé de chasse directe TEMPOFLUX 3 WC avec plaque de commande en verre noir a récemment remporté les Muuuz International Awards 2022 dans la catégorie Équipements Intérieurs, s’affirmant une fois de plus comme un produit qui a remarquablement su combiner esthétisme, originalité, usage et technicité.

- Découvrez les nouveautés DELABIE lors du salon SantExpo à Paris, du 23 au 25 mai 2023, stand 036.
- Rendez-vous le 6 juin 2023 à 14h, pour le Webinar DELABIE « Fuites dans les WC des lieux publics : en finir avec le gaspillage d’eau potable ». Plus d’informations à venir sur le site www.delabie.fr

Article publié dans le numéro d'avril d'Ehpadia à consulter ici